La place des citoyennes et des citoyens
Force est d’admettre que, malgré la meilleure volonté du monde, la Québécoise ou le Québécois moyen n’a pas l’impression d’exercer une grande influence comme acteur social pour lutter contre les changements climatiques. Un certain sentiment d’impuissance l’habite à cet égard, un manque d’emprise. Comme l’indique le graphique suivant, selon les individus sondés, ce sont les entreprises, les industries et les gouvernements qui ont les moyens d’agir les plus conséquents dans ce domaine.
Malgré tout, une proportion significative de citoyennes et citoyens est prête à modifier ses comportements individuels, comme l’indique le graphique suivant.
Un appel à la mobilisation